Heidegger : le débat télévisé. (Faye / Fédier / etc.).
Jean-Pierre Elkabbach reçoit monsieur Fédier et monsieur Faye pour un débat à propos de la (nouvelle) polémique Heidegger. Il y a 20 ans, Heidegger était accusé (par Farias) d'avoir totalement adhéré au nazisme. François Fédier avait déjà sorti un livre pour contrer cette polémique.
Aujourd'hui, on (Faye) accuse Heidegger d'avoir caché le nazisme au sein même de sa philosophie, voire d'être le mentor et l'inspirateur d'Hitler himself. Paraitrait même que c'est lui qui lui rasait la moustache, entre deux cours à Fribourg, dans les années 30.
« La mise à l’écart dont je fais l’objet n’a au fond rien à voir avec le nazisme. On subodore dans la manière dont je pense quelque chose de gênant, sinon même d’inquiétant, dont on aimerait bien être débarrassé ; qu’en même temps on y prête tant d’attention n’en est qu’une preuve de plus. Je n’ai jamais eu, fût-ce un seul jour, le moindre poids auprès d’une quelconque instance importante du parti nazi, sans parler d’y faire passer quoi que ce soit - tout comme j’avais été rejeté sans hésitation par les autorités ecclésiastiques. »
« "Heidegger est bien un cas brûlant". Par quoi l'on a déjà concédé qu'il ne saurait être question de s'y brûler les doigts, et que l'on trouverait à l'occasion normal que cette chose brûlante finît, à force de flamber, par s'éteindre. Il serait contraire à toutes les lois de l'être qu'il en soit autrement. »
Première partie
Deuxième partie
Troisième partie
Quatrième partie
Recension du livre "Heidegger à plus forte raison" :
L'affaire Heidegger close selon la revue "Esprit"
Pour en savoir plus, une seule adresse sur le net : le dossier sur le site parolesdesjours & le livre Heidegger, à plus forte raison
Aujourd'hui, on (Faye) accuse Heidegger d'avoir caché le nazisme au sein même de sa philosophie, voire d'être le mentor et l'inspirateur d'Hitler himself. Paraitrait même que c'est lui qui lui rasait la moustache, entre deux cours à Fribourg, dans les années 30.
« La mise à l’écart dont je fais l’objet n’a au fond rien à voir avec le nazisme. On subodore dans la manière dont je pense quelque chose de gênant, sinon même d’inquiétant, dont on aimerait bien être débarrassé ; qu’en même temps on y prête tant d’attention n’en est qu’une preuve de plus. Je n’ai jamais eu, fût-ce un seul jour, le moindre poids auprès d’une quelconque instance importante du parti nazi, sans parler d’y faire passer quoi que ce soit - tout comme j’avais été rejeté sans hésitation par les autorités ecclésiastiques. »
« "Heidegger est bien un cas brûlant". Par quoi l'on a déjà concédé qu'il ne saurait être question de s'y brûler les doigts, et que l'on trouverait à l'occasion normal que cette chose brûlante finît, à force de flamber, par s'éteindre. Il serait contraire à toutes les lois de l'être qu'il en soit autrement. »
Première partie
Deuxième partie
Troisième partie
Quatrième partie
Recension du livre "Heidegger à plus forte raison" :
L'affaire Heidegger close selon la revue "Esprit"
Pour en savoir plus, une seule adresse sur le net : le dossier sur le site parolesdesjours & le livre Heidegger, à plus forte raison